"Du côté de l'île du Guesclin" Peinture acrylique sur toile de lin (45 X 60,5 cm)
Cette bave des chevaux ras, au raz des rocs qui se consument
Ô l'ange des plaisirs perdus, ô rumeurs d'une autre habitude
Mes désirs, dès lors, ne sont plus
Qu'un chagrin de ma solitude
Léo Ferré
La barmaid avait dix-huit ans
Et moi qui suis vieux comme l'hiver
Au lieu de me noyer dans un verre
Je m'suis baladé dans l'printemps
De ses yeux taillés en amande
Ni gris ni verts, ni gris ni verts
Comme à Ostende et comme partout
Quand sur la ville tombe la pluie
Et qu'on s'demande si c'est utile
Et puis surtout si ça vaut l'coup
Si ça vaut l'coup d'vivre sa vie
Fin du 1er couplet
Comme à Ostende est une chanson écrite par Jean-Roger Caussimon, la musique a été composée par Léo Ferré en 1960.
On voyait les chevaux d'la mer Qui fonçaient la têt' la première Et qui fracassaient leur crinière Devant le casino désert... "Les chevaux de la mer" Comme à Ostende est une chanson écrite p...
Dans l'article ci-dessus, Jean-Roger Caussimon explique que cette chanson est un souvenir de tournée : "Dehors, c'est tout triste et puis, on entre dans un estaminet et on est très bien reçu, très chaleureusement". Sur cette page, également, début du 1er couplet (les chevaux de la mer), le 2ème (l'estaminet) et le 3ème (le limonaire)